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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 09:37

 

 

TCCLes deux courts couverts du Tennis Club Brignais-Chaponost ont été inaugurés en grande pompe en présence du député, Christophe Guilloteau, des maires des deux communes concernées et des autorités fédérales de tennis. Un tel aréopage se justifiait pour couper le ruban d’un ouvrage bienvenu dans notre village et dont l’implantation, un temps contestée par les riverains, s’imposait dans l’intérêt général.

 

L’important dans cette affaire n’est pas de constater que le coût de l’ouvrage, 618 K€, s’inscrit en dépassement de 11,4% sur le budget prévisionnel de 550 K€, ni même que la répartition de cette charge s’est opérée au large détriment de Chaponost, contrairement aux affirmations de Pierre Menard qui nous assurait il n’y a pas si longtemps que l’investissement serait supporté à 50/50 par Brignais et Chaponost. Au final, notre commune contribue à hauteur de 65%, Brignais à hauteur de 30% (plus de deux fois moins) et il a fallu solliciter la Conseil Général et le club lui même à hauteur respectivement de 3% et 2% pour boucler l’opération.

 

Non, l’important, qui n’a rien à voir avec le domaine sportif, c’est que Menard, en rusé renard, profite de la couverture médiatique de l’événement pour nous refiler en loucedé un mistigri que nous n’attendions pas puisque nous avions cru comprendre que la politique urbanistique de la commune était mise sous le boisseau au moins jusqu’aux conclusions du comité Théodule. Or, on nous apprend, au détour d’un article de nos confrères du Progrès, qu’un projet de construction d’un immeuble de logement est en cours de gestation  à l’emplacement du 6ème court de tennis !

 

Tennis

 

Ce terrain appartient à la commune. Aucun promoteur ne peut exercer un pressant lobbying auprès de nos élus et rien ne contraint la municipalité à réaliser une telle opération à cet endroit qui trouverait avantage à être mis en réserve foncière en vue de l’édification de la future M.J.C. en remplacement du bâtiment voisin et obsolète, qui défie toutes les normes réglementaires pour ce type d’établissement.

 

Comme toujours dans une partie de Mistigri, celui qui se  fait refiler le valet de pique a la désagréable impression de se faire b...erner.


Mistigri

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 08:43

 

 

courrierp.menard20130328 1Grand disciple de Saint Hubert et passionné de courre au cerf, au sanglier, au renard ou au lièvre, mon maître dispose d'une longue expérience de l'art de la vénerie. Lorsque je lui montrai tantôt la lettre rédigée par le président de l'association "Bien vivre à Chaponost" et adressée à Pierre Ménard, je vis immédiatement se former sur son visage les stigmates caractéristiques d'une profonde défiance. "Tout piqueux de tout équipage t'apprendra, maraud, que pour bien traquer le renard, il y faut mettre beaucoup de subtilité  et déjouer nombre de pièges que les ruses de ce pilleur de poulaillers ne manqueront pas de dresser sur tes pas dès que tu auras placé tes brisées", me tança-t-il gentiment, moquant ainsi ma juvénile naïveté.

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"Ménard, ajouta-t-il, est un goupil de haute lignée, il dresse habilement un rideau de fumée devant la meute de ses contradicteurs pour les mieux entraîner vers le piège qu'il s'apprête à leur tendre".

 

Il est vrai que, autant pour les tromper que pour ne pas perdre la face, il rebaptise "commission extra-municipale" les États Généraux que Jean Eudes et ses affidés appellent de leurs voeux. Il leur donne ainsi l'illusion qu'ils seront écoutés alors que, comme a l'accoutumée, ils ne seront qu'entendus et vite oubliés.

 

Une révision globale du P.L.U. Est une oeuvre de longue haleine, elle ne se conduit pas à la hussarde en neuf mois, sauf à bâcler la copie. Il faut tenir compte des délais incompressibles d'intervention des services de l'Etat et des autorités locales autres que municipales, des S.C.O.T., P.L.H., P.D.U., P.A.D.D. et autres schémas administratifs contraignants, écouter plus qu'entendre toutes les associations concernées, tenir compte des avis de la population, synthétiser le tout et mener une réflexion sereine avant que de conclure. L'on voit bien que la manœuvre du maire qui consiste à boucler (bâcler ?) l'opération avant fin 2013 vise à bricoler, dans l'urgence et sous la pression, un argument électoral fort pour le printemps prochain lui permettant de se prévaloir de l'accord unanime des associations sur sa politique d'urbanisme comme il l'a déjà faussement prétendu avec une particulière effronterie de celui des élus d'opposition après le conseil municipal de mars 2010. Il en profitera en outre probablement pour refourguer dans le package des projets contestables comme l'opération Bellevue dont ne veulent pas un grand nombre de chaponois.

 

Le piège est grossier, ne tombons pas dans ces rêts là !


 Renard cavalier

 

On n’ose croire que les associations du collectif du 17 mars pourraient faire preuve de naïveté, voire de coupable complicité en se prêtant à cette sombre manipulation. On a beau réunir dans ses rangs des bobo de droite comme de gauche, se vouloir ou se prétendre apolitiques, se définir comme un réservoir d'idées à la disposition de tout un chacun, se laisser guider enfin par un vieux routier des cabinets de la plus haute sphère parisienne, qui plus est doté d'un carnet d'adresses "épais comme ça", on se doit de demeurer lucide.

 

Une révision générale du P.L.U. est une affaire sérieuse ! Si elle doit vraiment avoir lieu, elle doit être menée par la prochaine municipalité, dans un climat apaisé après les élections de 2014, et par un maire qui aura exposé ses idées sur le sujet dans le cadre d'un programme réfléchi.

 

 


 

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 10:59

 

 

Délibération bis« Le consensus de 2010 », Pierre Menard n’a que ces mots à la bouche et insiste sur l’unanimité du vote du conseil municipal qui, en mars 2010, aurait approuvé les réalisations urbanistiques en cours. Naturellement, l’unanimité englobe les voix de l’opposition.

 

Mon maître étant un maniaque de la conservation et du classement des archives, en fourbe valet que je suis, n’accordant qu’une confiance très limitée comme on s’en doute dans la bonne foi de notre maire, j’ai recherché le texte de la fameuse délibération qui sert de béquille à notre claudiquant édile.

 

Surprise !

 

Il s’agit d’une délibération qui n'approuve que les principes généraux d’aménagement du centre bourg et n’entre dans aucun détail ! On comprend dès lors que même les conseillers d’opposition aient voté ces déclarations d’intention. Les manifestants de dimanche dernier n’ont d’ailleurs rien dit d’autre lorsqu’ils se déclaraient partisans de la densification du centre et de la mixité sociale, à condition que cela s’inscrive  dans un schéma cohérent.

 

En revanche, rien sur la médiathèque, ou plutôt si : Le maire himself déclare que le projet d’« équipement culturel » est un autre sujet. Citons-le :

         « Concernant le projet d’équipement culturel aucun scénario n’est encore arrêté. »

 

Et après cela, Maurice le poisson rouge ose affirmer urbi et orbi que l’opposition approuve la médiathèque alors qu’elle a voté contre toutes les délibérations ultérieures relatives à ce projet !

 

Décidément, magouillage et maquillage sont les deux mamelles qui auront nourri le système Menard !

 

 

 


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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 11:00

 

 

Krys 02

Krys 06

 

 

 

 

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 11:26

 

 

« Circulez, y a rien à voir,

allez vous faire foutre,

je vous merde,

rien à branler,

fuck you ! »

 

 

Lettre EGUDécidément, Pierre Menard ne change pas son discours et chaque jour qui passe aggrave son autisme à évolution lente et le désamour de ses administrés.

 

Non seulement, il reste droit dans ses bottes dans la missive qu’il adresse à trois associations chaponoises en réponse au tract distribué à profusion le 17 février dernier sur la place du marché et sur les pare-brise, mais, de surcroît, il se paie la tête de leurs présidents et adhérents en prétendant avoir déjà tenu les fameux Etats généraux de l’Urbanisme que ceux ci réclament à corps et à cris. Le foutage de gueule n’a pas de limite au château Joffre, il en devient insultant !

 

Menard gagnerait sans doute à méditer quelque peu l’histoire de France. Ces Etats généraux se tiendront quoi qu’il arrive et débuteront dans la rue dimanche prochain. Qu’il prenne garde que cette manifestation officielle ne donne lieu à la prestation d’un nouveau serment du jeu de paume. Chacun sait que cet épisode célèbre marqua le début des événements qui conduisirent un monarque borné à cracher dans la sciure, au petit matin d’un certain 21 janvier 1793 sur la place de la révolution.


 

Tract pour distrib le 10 03 2013

 

 

 

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:14

 

 

images-copie-3

 

 

 

Droits dans leurs godillots, les mercenaires du maire tentent une contre-offensive dans nos boîtes aux lettres. Il faut sauver le soldat Menard qui prit bien soin dimanche matin d’éviter de rencontrer et d’engager toute discussion avec les adhérents des associations organisatrices de la manifestation du 17 mars qui "tractaient" à tous les coins de rue. Quelques membres de son équipe furent plus courageux !

 

tract E&A2Une fois de plus, le maire n’a rien compris et, pour toute défense comme à son habitude, caricature ses opposants par reîtres interposés en les faisant passer  pour réfractaires à toute évolution du village. La ficelle est grossissime ! Il aurait été difficile en outre, lorsque cinq associations locales se regroupent pour marquer leur opposition à la politique menée, de poursuivre sur les errements antérieurs et d’agiter l’épouvantail poussiéreux de l’affreuse droite réactionnaire.

 

C’est bien évidemment dimanche prochain qu’il faudra faire les comptes. Nous verrons bien alors si, soumis à la pression de la rue, Menard, tel Juppé en son temps, reste droit dans ses bottes avant que de subir, souhaitons-le, le même sort  et de succomber, qui sait, à la tentation de Venise.


 

Tract pour distrib le 10 03 2013

 

 


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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 09:15

 

 06012052

 

 

2013 n’est pas 1940,

février n’est pas juin,

Chaponost n’est pas Londres, m’a répété mon maître tantôt.

 

Et pourtant …

 

Démolition maison esthCe 18 février 2013 demeurera tristement marqué dans les annales de notre village comme ayant présidé aux premiers coups de pelle de démolition sur la maison de l’esthéticienne, donnant ainsi le top-départ du si controversé chantier de la médiathèque.

 

Nous saisissons cette occasion pour lancer solennellement un appel à la résistance :

 

 

« Nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique.

 Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! 

 Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour Chaponost. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

 Moi, Scapin, j’invite mes concitoyens qui se trouvent à Chaponost ou quiUnknown viendraient à s’y trouver, avec leur vaillance et leur conviction, j’invite les passionnés de la chose publique locale qui se trouvent à Chaponost ou qui viendraient à s’y trouver à se mettre en rapport avec moi et à se joindre à mon combat

 Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance chaponoise ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. 

 Demain, comme aujourd'hui, je m’adresserai à vous dans ces colonnes. » 

 

 

Certes, le 18 février 2013 n’est pas le 18 juin 1940, Chaponost n’est pas Londres, mais l’urgence commande que nous réagissions avec vigueur et fermeté contre l’œuvre destructrice de Menard et de ses sbires, fut-ce en plagiant honteusement les accents gaulliens du général.

 

Rappelons aussi que le 18 est l’un des numéros d’urgence par lequel nous appelons les pompiers au secours lorsque nous sommes en danger et que tout semble perdu. Les soldats du feu nous tirent bien souvent de situations périlleuses, c’est de bon augure.

 

 


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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 18:22

 

 

« Trouble envahissant du développement caractérisé par un fonctionnement psychologique restreint ou anormal à la fois dans les domaines de la communication, des interactions sociales et dans le comportement général (peu diversifié et répétitif). » 

 

Telle est la définition de l’autisme que nous délivre l’encyclopédie Larousse. Nul besoin d’être grand disciple de Freud pour dresser un diagnostic collectif à l’adresse de nos élus et en particulier du premier d’entre eux. Une étrange épidémie d’autisme s’est abattue sur le château Joffre. 

 

Démolition maison esthLa foire aux élus se déroulait ce matin comme régulièrement sur la place du marché, à deux pas de la maison de l’esthéticienne, grillagée depuis quelques jours et arborant d’imposants panneaux de l’entreprise de démolition appelée dès demain matin à saper irrémédiablement ses fondements.

 

Affublés de leurs habituelles oeillères, nos édiles feignaient ostensiblementlettre ouverte 1 d’ignorer les groupuscules de manifestants qui, depuis le matin, distribuaient à profusion un tract contestataire sous forme de lettre ouverte que nous publions en accompagnement du présent billet et en ornaient les pare-brise des véhicules en stationnement dans tout le village. Il convient de souligner que ce tract est signé de cinq associations chaponoises, témoignant ainsi de la diversité, de la vivacité et de la solidarité des oppositions qui s’expriment à l’encontre de la politique d’urbanisme de l’équipe en place en général et à l’encontre de l’édification d’une médiathèque sur la place Maréchal Foch en particulier. Il fait suite à de nombreuses protestations émises précédemment au travers d’une pétition ayant réuni plus de 800 signatures, lors d’une réunion publique organisée par Ligne d’Avenir et dans les lignes d’une première lettre ouverte adressée au maire de Chaponost.

 

Trois de ces cinq associations, soutenues par les deux autres, convient collégialement dans une seconde affichette l’ensemble de la population du village à une manifestation de masse qui se déroulera le dimanche 17 mars 2013 sous forme d’un cortège défilant dans le centre du village. Nous publions également cette invitation en annexe en souhaitant la présence d’un maximum de participants à cette manifestation.

 

Sourd et aveugle à ces événements qui constituent une première dans l’histoire de notre village, Pierre Menard persiste et s’entête, prétendant d’une part avoir été élu pour réaliser ce projet et d’autre part, suprême provocation, qu’une majorité de chaponois s’est exprimée favorablement dans le cadre d’une prétendue démocratie participative.

 

Mon maître et moi-même nous associons pleinement à la démarche entreprise par ces cinq associations. Il est plus que temps de manifester fermement notre opposition à un maire qui ne tient aucun compte des préoccupations de ses administrés.


 

VENEZ NOMBREUX A LA MANIFESTATION DU 17 MARS !

 

Tract pour distrib le 10 03 2013 


 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 13:53
Capture-Bellevue-bis
  • - Manque de concertation,
  • - absence de prise en compte des usages,
  • - réticence au rythme de développement imposé,
  • - attachement de la population au caractère « villageois » de Chaponost,
  • - sous-estimation de la valeur emblématique du site de Bellevue …

 

N'en jetez plus !

 

Tels sont les arguments qui motivent Nadine Mordant, commissaire enquêtrice sur le projet de modification du P.L.U., dans sa proposition de rejet du projet de création d’un secteur plan masse sur l’îlot Bellevue…

Nul !

 Voilà Ménard renvoyé à ses chères études et contraint, à tout le moins, de revoir sa copie ! A la lecture du rapport de madame Mordant, nul doute en effet que le Préfet retoquera le dossier avec un bon coup de règle sur les doigts de notre édile. Quel beau début de campagne pour le candidat à sa propre succession !

 

Mon maître dénonçait il n’y a pas si longtemps dans ces colonnes autant l’incongruité de cette opération immobilière que l’opacité savamment entretenue par nos élus sur les tractations avec les professionnels de l’immobilier qui ont entouré ce projet, autorisant le vulgum pecus à imaginer, sinon une dérive prévaricatrice, du moins un copinage malsain et blâmable.

 

Les chaponois se sont mobilisés « en nombre important et significatif » pour critiquer le projet auprès de la commissaire enquêtrice. Ils ont eu gain de cause. Puisse cet exemple servir de leçon pour l’avenir.

 

 


 

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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 15:35

 

 

rond point

 

Qui casse paie … Cette expression de la sagesse même fut inculquée à mon maître dès ses vertes années par une éducation parentale rigoureuse et fondée sur les préceptes les plus élémentaires de la responsabilité et de la justice.

 

Il semble que la déontologie qui guide le comportement de Pierre Menard soit bien différente. Qu’importe que l’on construise ou que l’on détruise puisqu’en tout état de cause, c’est dans la poche du contribuable taillable et corvéable à merci que l’on puisera les subsides indispensables au financement des lubies du moment.

 

haricot 2Vous souvient-il, braves chaponois,, c’était il y a trois ans à peine, des doctes arguments développés par nos élus, Menard et Géron en tête, en faveur de l’édification de multiples ronds-points et haricots désaxés propres à assurer, disaient-ils, la sécurité des citoyens dans le franchissement de carrefours particulièrement dangereux et accidentogènes, au premier rang desquels figurait le croisement Badoil – Jean Perret. Il en coûta à l’époque quelques dizaines de milliers d’€uros au budget municipal.

 

carrefour BJPEt bien, les temps ont changé ! Par l'intercession miraculeuse du sinistre Rivalta, copain PS  du maire à la sombre réputation, et de sa Well’s Fargo locale, lesdits carrefours ne présentent à l’évidence plus le moindre danger pour le chaponois lambda puisque l’on a procédé sans délai à la neutralisation des édicules en cause, de telles sorte que les diligences de ce cher Bernard puissent sillonner sans encombre les voies de notre village. Il en aura bien sûr coûté à nouveau quelques bras à nos concitoyens.

   arret bus   

D’aucuns, nous taxant d’esprits chagrins, nous rétorqueront, et ils auront raison, que, faire et défaire, c’est toujours travailler ; certes, mais il n’en demeure pas moins qu’en ces temps de vaches maigres, payer deux fois pour peau de zob, pour le bon plaisir d’un édile capricieux, peut raisonnablement paraître un tant soit peu excessif.

 

Quant à savoir s’il y eut double versement de rétrocoms, mystère et boule de gomme !

 

 

 


 

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