Les mensonges et les cadavres de Super-Menard n’ont pas fini de polluer le mandat de Damien Combet !
Notre ex-super-héros a beau rester « droit dans ses bottes » comme l’affirment nos confrères du Progrès, il n’empêche que le budget municipal risque fort de devoir essuyer les plâtres de ses ambitions démesurées.
De mémoire de Vème République, la dernière fois qu’un responsable d’exécutif eut la prétention de rester droit dans ses bottes, c’était le 6 juillet 1995, et au moins était-il premier ministre, il fut éjecté manu populi par des manifestations de rue. Dans le cas Menard, l’éviction a précédé le « droit dans les bottes », mais la rue et la vox populi sont bien à l’origine de l’éviction.
Alors, Juppé / Menard, même destin ? On pourrait le croire, si ce n’est que l’un a été « le meilleur d’entre nous », l’autre pas, et de loin !
L’on dit souvent qu’en politique, on n’est jamais mort. Juppé nous le prouve. Soyons donc vigilants et poursuivons à chaque fois que cela sera justifié la dénonciation des méfaits du sortant.
Entonnons gaillardement sur l’air d’une de nos vieilles paillardes de potaches :
Non, non, non, non, Pierre Menard n’est pas mort (bis)
Car il nuit encore (bis)